New-York ! Vendredi 3 Mai 2019.-
L’organisation des nations unies (ONU) appelle à défendre les droits des journalistes face à la violence et la haine, à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai 2019.
« …Ce ne sont pas les mensonges mais bien les faits qui doivent guider le choix des citoyennes et des citoyens lorsqu’ils élisent leurs représentants » António Guterres
Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, et la cheffe de l’UNESCO, Audrey Azoulay, ont appelé à « défendre les droits des journalistes dans un contexte de montée des discours de haine contre les médias et d’une recrudescence d’actes de violence contre eux »
« La liberté de la presse permet (…) de mettre les dirigeants devant leurs responsabilités » Secrétaire Général de l’ONU
La liberté de la presse est une condition sine qua non de la paix, de la justice, du développement durable et des droits de la personne. Il ne saurait y avoir de pleine démocratie sans accès à une information transparente et fiable », a déclaré M. Guterres dans un message pour cette journée, qui est célébrée officiellement le 3 mai.
Il a ajouté que « la liberté de la presse est la pierre angulaire de l’édification d’institutions justes et impartiales ; elle permet aussi de mettre les dirigeants devant leurs responsabilités et d’exprimer la vérité face aux puissants ».
Le Secrétaire. Général de l’ONU a insisté que «ce ne sont pas les mensonges mais bien les faits qui doivent guider le choix des citoyennes et des citoyens lorsqu’ils élisent leurs représentants ».
- Guterres a noté que « la technologie a transformé notre manière de recevoir et de communiquer l’information, mais qu’elle est aussi parfois utilisée afin de tromper l’opinion publique ou d’attiser la violence et la haine ».